Le Kenya est aujourd’hui le pays d’Afrique qui a misé sur le développement de ses ressources géothermiques. Géo2D ne pouvait être absent de ce challenge. A travers le montage de projets avec des opérateurs Kenyans (GDC, KenGen, Approtech), et des actions de formation (Université technologique de Nyeri) et de R&D géo2D entend jouer son jeu dans ce développement en lien avec divers acteurs français (BRGM, Electerre, Clemessy…).

 Kenya

Le Kenya est aujourd’hui le pays d’Afrique qui a misé sur le développement de ses ressources géothermiques,avec 6000MWe nstallés en 2016 et un objectif d'atteindre  5000 MWe en 2030.Géo2D ne pouvait être absent de ce challenge. A travers le montage de projets avec des opérateurs Kenyans (GDC, KenGen, Approtech), et des actions de formation (DEKUT, Université technologique de Nyeri) et de R&D (voir le concept de<<Geothermal Village>>, et le programme de recherche Geopower Africa conçu par J.Varet et mis en oeuvre avec le soutien de "Power Africa" d'Obama) Géo2D entend jouer son jeu dans ce développement en lien avec divers acteurs français (BRGM, Electerre, Clemessy, Enertime…).

Géo2D intervient également dans le domaine des ressources minérales, en particulier en appui de IMERYS concernant les ressources en diatomite, qui sont d'excellente qualité au Kenya. trois gisements ont été identifiés et deux d'entre eux ont fait l'objet d'études spécifiques et d'échantillonnages pour tests industriels.

Jacques Varet dirige plusieurs thèses de jeunes professionnels de KenGen et GDC, accédant ainsi à des problématiques de développements scientifiques et technologiques. 

Rwanda

Le Rwanda est une petite Répubulique,avec une trés forte densité de population (13 million d'habitants sur 26.OOOkm2), située sur la branche ouest du Rift Est  Africain. Le pays est dépourvu de ressources énergétiques si ce n'est quelques petites installations hydro-électriques. Au bord NE du lac Kivu  plusieurs sites géothermiques potentiels ont été identifiés . Géo2D intervient avec GCD (Kenya) dans la cadre d'un contrat financé par l'Union Européenne (260.000€) pour étudier ces ressources et le site de Kilwa fait actuellement l'objet d'études plus approfondies en vue d'y entreprendre des forages d'exploration en slim-hole.

Publications citées:

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